La terre subit des rayonnements cosmiques, elle absorbe les rayons lumineux et infrarouges, mais aussi un bombardement de micro-ondes dont l’origine est au delà de la Voie Lactée. La vibration de ces ondes électromagnétiques se mesure en GigaHertz (1 milliard de vibrations secondes). Si l’on mesure les énergies vibratoires en différents lieux et différentes profondeurs, on obtient des variations correspondant soit à des noeuds d’énergie amplifiée, soit à des rayons telluriques comparables aux méridiens d’acupuncture.
En 1936, le Dr Peyre à Bagnoles de L’Orne, met en évidence des mailles orientées NS/EO, dont les dimension sont plutôt importantes (6 x 7,50 m environ). En 1945, le Dr Hartmann découvre un maillage de 2 x 2,5 m. Enfin en 1986 Walter Kunnen met en évidence des réseaux dits « sacrés » présents dans les Eglises où les réseaux H sont absents. En réalité, ils n’ont fait que reprendre des travaux et des découvertes plus anciennes ; tout cela était bien connu des Romains, des Grecs, des Celtes, et avant eux des Egyptiens et des Chinois.
Pourquoi ces différences ? Il faut noter que le Dr Peyre travaillait en pleine nature, loin de toute pollution, alors que le Dr Hartmann fit ses expériences dans son hopital équipé d’une installation électrique toute nouvelle de 110V/50Hz. Le réseau H est directement lié au pollutions électromagnétiques et donc créé par les erreurs humaines.
Les Chinois parlaient bien avant eux des veines du dragons et des réseaux solaires, redécouverts par le Dr Peyre. Ils se trouvent naturellement dans la nature et constituent un quadrillage important. Les réseaux Hartmann, ou Curry ne sont que les sous-divisions, par effet de zoom, du réseau solaire et sont créés par l’homme et la science sans conscience. Ces réseaux vont donc interférer avec l’eau, les failles, la radioactivité et l’électromagnétisme, et agir sur le plan physique, énergétique et psychique : le réseau sera porteur d’informations, bonnes ou mauvaises.
Raymond de Montercy spécifie : « Les réseaux terrestres ne sont que les états particuliers de la matière qu’il faut concevoir dans une structure dynamique et en volume. Il existe une variété infinie de réseaux donnant accès à des informations différentes ; leurs dimensions varient en permanence en fonction de la latitude du lieu, de l’influence du soleil et de la lune. Comme tout système dynamique, ils peuvent se polluer, changer de forme et de caractère d’information, et devenir inducteurs de parturbations ». Le réseau dit solaire dépend directement des phénomènes cosmiques qui vont provoquer des réactions de surface ; c’est une émission qui vient d’en haut. Ce réseau va réagir à la course du soleil et de la lune ; il va être constamment en mouvement, d’autant plus que la plaque terrestre va bouger.
Dans les faux de Verzy, tant que l’homme ne décidera pas de le polluer avec le courant électrique, on peut particulièrement ressentir ce calme et cette paix revivifiante, liés à la pureté de son réseau solaire. D’autre part, le fait que ce réseau ait été sacralisé par la présence d’hommes éveillés depuis la nuit des temps, en fait un lieu propice à la Méditation, la Prière, le Yoga ou le Qi Gong. Il suffit de se mettre dans un état d’ouverture et de respect auprès de ces arbres, pour trouver ou retrouver l’énergie de la nature…